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Les associations de journalistes inquiètes pour l’avenir du Centre de presse international

20/11/2007

2 juillet 2001. C’est le d’envoi de la présidence belge de l’Union
européenne et le Premier ministre Guy Verhofstadt inaugure, avec ses collègues
Louis Michel et Rick Daems, un Centre de presse international au Résidence
Palace. Le « bloc C » du complexe, conçu dans les années
20 par l’architecte Michel Polak, a entièrement été
réaménagé. L’endroit est spacieux et présente
de nombreuses commodités (salles de conférences, de réunions,
restaurant, locaux informatique et de montage…) pour accueillir dans les
meilleurs conditions les nombreux journalistes de la capitale. Bruxelles occupe
en effet la deuxième place mondiale en nombre de journalistes étrangers
et compte quelque 2.000 journalistes belges.
L’IPC se remplit très vite. Aujourd’hui, 110 locataires
se partagent ses huit étages : associations et/ou organisations
professionnelles, médias étrangers, journalistes indépendants…
Mais la multiplication de chantiers à l’intérieur
et autour du bâtiment, avec entre autre conséquence la
suppression des parkings, inquiète ses occupants : quel accès
et quels services pourront-ils encore fournir aux journalistes et au
public ?

L’Association générale
des journalistes professionnels de Belgique
(AGJPB), l’Association
de la presse internationale
(API), la Fédération
internationale des journalistes
(FIJ) et Journalists
@ your service
(J@YS) ont fait part de leurs préoccupations à l’occasion
d’une conférence de presse, et détaillé leurs arguments
en faveur du maintien de l’IPC au Résidence Palace. Elles attendent
également des garanties fermes de la part de chacun des intervenants du
dossier (Etat belge, Région bruxelloise et Union européenne).

Un
dossier de presse trilingue (français/néerlandais/anglais) est
disponible au format PDF en cliquant sur ce lien
.

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