Vingt journalistes et
quatre collaborateurs de presse se sont affrontés, dimanche 4 novembre, sur les
deux parcours (5,2 et 10,1 km) proposés par les organisateurs du jogging 11.11.11
de Vossem (Tervuren). Pour la première fois depuis que le championnat annuel de
la presse belge est couplé à une course sur route existante, les vainqueurs au
classement général des deux courses sont également les vainqueurs de notre petite
compétition « corporatiste » : Bart Hellemond (VRT) a en effet gagné le 10 km dans
le remarquable temps de 33’29’’, ce qui représente une allure moyenne de 18 km/h,
tandis que Bram Smets (RCA PR Consult) est le premier toutes catégories sur 5
km en 17’42’’.
Félicitations à ces deux lièvres qui ont battu, respectivement, 367 et 195 autres
coureurs. A se demander s’ils rédigent ou parlent aussi vite qu’ils courent… Côté
féminin, Linda Brocatus (De Lloyd) et Greet Mutton (VRT) étaient les seules journalistes
à répondre présent. Elles avaient privilégié le 5km et c’est Linda qui a triomphé
en 27’21’’. Elle portera donc le titre (officieux) de journaliste la plus rapide
pour les 12 mois à venir. Les autres vainqueurs sont Haroun Fenaux (service de
presse de Belgacom) pour les collaborateurs de presse sur 10 km et Guy Muesen
(ex-Tijd, fraîchement passé à l’Unizo) pour les journalistes sur 5 km. Bravo à
eux.
C’était aussi la première fois que notre compétition prenait place à Vossem, après
plusieurs années de participation d’affilée à la « course au chocolat » de Moorsel
(12 km). Disons-le tout de suite : Vossem propose un superbe parcours, très roulant,
avec de larges tronçons à travers le parc de Tervuren et l’arboretum. Un vrai
plaisir de l’arpenter en déployant son compas au-dessus d’un tapis de feuilles
mortes couleur de coucher de soleil. On est tout prêt à y récidiver l’an prochain.
Ceci dit, en termes de participations, vingt-quatre coureurs, cela reste fort
peu. Par rapport aux éditions précédentes du championnat de la presse, on observe
un statu quo un peu décevant. On rêve toujours d’attirer deux fois plus de monde.
L’an prochain, peut-être ? (M.Lw.)